Lancée en 2014 et légèrement « botoxée » en 2018, la quatrième génération de la MINI a fait appel, cette fois, à de la chirurgie esthétique lourde ! L’iconique citadine premium british et ses différentes déclinaisons ont reçu de profonds coups de bistouri. Détails.
La MINI quatrième du nom (la troisième depuis 2000 et la reprise, par BMW, de la firme fondée par Alec Issigonis en 1959) a fait peau neuve. Elle vient en effet de passer pour la deuxième fois de sa carrière par la case restylage.
Mais, alors que sa première mise à jour, datant de 2018, avait été légère (nouvelle signature lumineuse à LED et feux arrière « Union Jack » pour toute mutation extérieure), le relooking est spectaculaire, cette fois. Et il concerne toute la gamme.
C’est au niveau de la proue que l’évolution est la plus remarquable. La version restylée de la MINI hérite d’une calandre profondément remaniée. Elle s’offre un large bandeau couleur carrosserie et ne semble plus former qu’un seul ensemble avec le bouclier qu’elle surplombe, retravaillé lui aussi, « balafré » désormais, de part et d’autre, de fines prises d’air verticales, qui remplacent « géographiquement » les antibrouillards.
D’un point de vue opérationnel, leurs suppléants sont les nouveaux feux à LED, qui intègrent dorénavant une fonction « Mauvais temps » pouvant être activée manuellement en cas de conditions météorologiques dantesques. Côté look, le regard est plus ténébreux. Et pour cause : les optiques avant adoptent, de série sur cette Phase 2 (le restylage de 2018 avait donné lieu à la Ph.1.5), un fond noir.
Notons aussi l’apparition d’un pack « Black », qui permet de faire contraster plusieurs éléments de carrosserie, mais aussi les différents emblèmes et monogrammes du véhicule.
Au niveau de la partie arrière, les changements sont plus discrets. Le motif « Union Jack » des feux gagne en visibilité, tandis qu’un fin bandeau couleur carrosserie court désormais sur toute la largeur du bouclier arrière. Sur la Cooper S, elle dévie de son cours pour contourner la double sortie d’échappement et le feu stop (type F1) centraux.
Bonne nouvelle pour les adeptes des configurations aux petits oignons : le catalogue de personnalisation de cette version restylée est plus épais que jamais. Pas moins de cinq types de jantes inédits y font leur apparition.
Cela dit, l’entrée la plus remarquée est à mettre à l’actif du toit « Multitone » optionnel. Il s’agit d’une peinture de toit très spéciale, d’un dégradé de l’avant à l’arrière du véhicule : couleur carrosserie à l’avant, le pavillon s’assombrit, tend vers le noir, à mesure qu’il approche de la lunette arrière. Le grand méchant look !
A bord, la MINI «facelift» dépaysera moins les proprios de la Ph.1 malgré son volant inédit, au look plus sportif, ses aérateurs redessinés. Ils lui « envieront » néanmoins son nouvel écran tactile central, plus grand (8,8 pouces, contre 6,5 pouces précédemment) et doté d’une interface updatée.
Au chapitre aides à la conduite, la MINI 2021 embarque désormais une alerte de franchissement de ligne, de même qu’un régulateur de vitesse adaptatif, actif de 0 à 140 km/h. Ainsi armée, la citadine d’Oxford propose une conduite autonome de niveau 2. Les ECU peuvent en effet relayer le conducteur dans les bouchons.
La MINI «facelift» hérite, sur certaines motorisations, d’un frein à main électrique. En option, elle peut même s’équiper d’une suspension adaptative des plus sophistiquées.
Sous le capot, on prend les mêmes et on recommence : l’offre Diesel ne bouge pas d’un iota. Le trois-cylindres 1.5 l de 116 ch et le quatre-cylindres 2.0 l ont été reconduits sans modification majeure. C’est également le cas des trois-cylindres 1.5 l essence de 75 ch, 102 ch et 136 ch, comme des quatre-cylindres 2.0 l de 178 ch (192 ch pour la version BVA7) et 231 ch des «Hot Hatch» que sont la Cooper S et la John Cooper Works. Devinez quoi ! L’électromoteur de 184 ch de la Cooper SE et la batterie qui l’alimente ont été repris tel quel de la Ph.1.
Hormis le plus modeste des 3-cylindres, tous les blocs thermiques offrent le choix entre une boîte mécanique à 6 rapports et entre une boîte robotisée à double embrayage à 7 rapports.La MINI « new-look » est d’ores et déjà disponible à la commande en Europe, où elle effectuera son entrée dans les concessions en mars prochain. Elle s’y affichera à des tarifs débutant à 20.900 euros (230.000 DH environ), ce qui représente une inflation de 300 euros seulement par rapport au modèle sortant. Une paille !
1.312 24 mai 2025
2.018 4 novembre 2024
2.457 30 octobre 2024
3.320 6 août 2024
4.580 28 juin 2024
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259.900 - 279.900 DH *
489.900 - 549.900 DH *
290.000 DH *
269.000 - 299.900 DH *
689.700 - 842.000 DH *
734.000 - 886.000 DH *
690.000 - 842.000 DH *
342.000 - 395.000 DH *
234.900 DH *
350.000 - 394.900 DH *
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* Prix public au Maroc hors frais d'immatriculation et peinture métallisée
11/2025 *
01/2026 *
11/2025 *
11/2025 *
10/2025 *
10/2025 *
11/2025 *
12/2025 *
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* Date de lancement «probable» sur le marché marocain
689.700 - 842.000 DH *
489.700 - 648.000 DH *
585.000 - 756.000 DH *
815.000 - 959.000 DH *
226.900 - 260.500 DH *
137.000 - 174.500 DH *
210.900 - 264.900 DH *
359.900 - 464.900 DH *
145.900 - 161.000 DH *
329.000 - 450.500 DH *
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* Prix public au Maroc hors frais d'immatriculation et peinture métallisée
MINI - Avis des automobilistes
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