Le ministère du Transport est en train de plancher sur les outils réglementaires et incitations fiscales pour améliorer l’efficacité énergétique des véhicules neufs et promouvoir l’électrification des flottes. Parmi les mesures qui seront mises en place : l'instauration de la taxation-subvention dite « Bonus-Malus », rapporte lematin.ma.
Le quotidien précise que ce projet qui devra démarrer en mai 2023 et s'étaler sur une durée de 3 ans recevra le soutien de l’Agence allemande de Coopération (GIZ). Il visera essentiellement à instaurer des normes d’émission de CO2, ainsi qu’une taxation-subvention basée sur le taux des émissions appelée « Bonus-Malus ».
Lematin.ma rappelle que le bonus-malus écologique, déjà mis en œuvre dans plusieurs pays développés, se compose de deux dispositifs complémentaires :
Le journal ajoute que l’équipe de la GIZ soutiendra le développement et la mise en œuvre de ces deux instruments réglementaires dans le cadre du projet allemand de coopération au développement intitulé « Introducing Measures, Pathways, Roadmaps for optimizing vehicle efficiency and electrification » (IMPROVE). Ce dernier fournit une assistance technique au gouvernement marocain, notamment le département du Transport.
L'équipe de la GIZ accompagnera ainsi le ministère dans tout le processus de développement et mise en-ouvre à travers des services de conseil d’experts internationaux, en plus de faciliter des dialogues entre les parties prenantes et les institutions partenaires. Elle soutiendra également des études et la collecte et l’analyse des données.
Cette initiative vise, par ailleurs, à aider le ministère du Transport et de la logistique à soutenir la participation du secteur de transport aux contributions déterminées au niveau national (CDN) relatives à la réduction des émissions de gaz à effet de serre, note le journal, qui précise qu'en juin 2021, le Maroc avait soumis une nouvelle CDN révisant à la hausse son objectif d’atténuer les émissions de gaz à effet de serre à 45,5% d'ici 2030, dont 18,3% est inconditionnelle.
Au Royaume, le secteur du transport est le premier consommateur d'énergie avec près de 38% de la consommation nationale en énergie finale. Il contribue également à plus de 23% des émissions de gaz à effet de serre, selon l’Agence marocaine pour l’efficacité (AMEE). Ce secteur dépend quasi exclusivement des produits pétroliers. La croissance annuelle de la consommation de carburants dans ce secteur évolue rapidement avec un rythme supérieur à 5% par an, conclut le quotidien.
965.000 - 1.377.000 DH *
815.000 - 965.000 DH *
1.016.000 - 1.310.000 DH *
1.215.000 DH *
1.280.000 - 1.390.000 DH *
819.000 - 1.064.000 DH *
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319.900 - 399.900 DH *
147.900 - 183.900 DH *
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* Prix public au Maroc hors frais d'immatriculation et peinture métallisée
428.000 - 580.000 DH *
480.000 - 615.000 DH *
489.700 - 732.000 DH *
577.000 - 753.000 DH *
164.900 - 167.900 DH *
178.900 DH *
199.000 - 262.000 DH *
130.000 - 167.500 DH *
126.000 - 178.000 DH *
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* Prix public au Maroc hors frais d'immatriculation et peinture métallisée
36.990 - 36.990 DH *
168.000 - 168.000 DH *
121.000 - 150.000 DH *
67.000 - 133.000 DH *
44.900 - 55.000 DH *
155.000 - 155.000 DH *
131.000 - 131.000 DH *
54.950 - 61.950 DH *
29.500 - 29.500 DH *
89.000 - 89.000 DH *
* Prix de vente public au Maroc
BEN ALI Mohammed - le 3 mai 2024
Abderrahman Mzali - le 21 avril 2024
benadim - le 13 avril 2024
aasem med - le 31 décembre 2020
Alami - le 6 avril 2024
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