A l’issue de la dernière manche de la saison 2019 du championnat du monde FIA de Formule E (FE), disputée sur le circuit de Brooklyn (Etats-Unis), le champion en titre, Jean-Eric Vergne et son écurie, DS Techeetah, ont décroché le « Grand Chelem », le doublé pilote/constructeur.
Le pilote français décroche ainsi sa deuxième couronne consécutive, tandis qu’il s’agit d’un premier sacre pour le team DS Techeetah, née de l’association, en amont de la saison qui vient de tirer sa révérence, de la marque premium du groupe PSA et de l’écurie chinoise éponymes.
Pour mémoire, la FE est une formule monotype. La meilleure monoplace du plateau, celle de Vergne et Lotterer, la DS E-Tense FE19, affiche les mêmes spécifications techniques que ses rivales, à savoir un poids de 900 kg, un moteur électrique de 250 kw (338 ch) et une batterie de 52 kw/h. Les différences entre les monoplaces se situent essentiellement au niveau des réglages châssis.
« Fantastique Boost »
En tout cas, les commerciaux de DS Automobiles doivent se frotter les mains. Ils ne devraient pas se priver de dresser des parallèles, de bâtir des ponts entre la monoplace DS E-Tense et la gamme civile du même nom. Cette victoire retentissante, acquise après un combat de haute lutte face à Audi, BMW, Jaguar, ou encore Nissan, devrait booster de manière considérable le capital sympathie des modèles électriques et hybrides rechargeables actuels et à venir de la marque, notamment les DS 3 et DS 7 Crossback E-Tense.
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