Révélée en octobre 2019 et lancée en Europe au cours de l’été 2020, la très séduisante TOYOTA Yaris quatrième du nom devrait débarquer sur notre marché dans les prochaines semaines.
Pour ce nouvel opus, TOYOTA est reparti d’une feuille blanche. La nouvelle venue inaugure en effet la plateforme GA-B. Après les bases roulantes GA-C (voiture de gabarit intermédiaire comme la Prius 4, le CH-R et la Corolla) et GA-K (le RAV4 et la Camry), voilà les principes de l’architecture modulaire TNGA (Toyota New Global Architecture) transposés au segment B.
L’adoption de cette nouvelle plateforme a permis d’optimiser la répartition des masses comme la rigidité de caisse ou l’empattement (+5 cm) et son corollaire, l’habitabilité – quand bien même la nouvelle génération est plus courte d’un demi-centimètre).
Opération séduction
Selon les concepteurs de la nouvelle Yaris, cela a également eu une incidence positive sur le style du véhicule. Si la génération sortante ne manque pas de sex-appeal avec sa calandre en X et ses lignes audacieuses, sa remplaçante pousse de quelques crans le curseur de l’envoûtement.
Moins haute de 4 cm est plus large de 5 cm, elle s’offre un look tout en muscles, trapu. La face avant est insolente, agressive au possible : capot renflé, calandre béante qui semble vouloir croquer l’asphalte, feux à LED finement ciselés sertis d’une signature lumineuse bien « funky », bouclier généreusement ajouré…
Même son de cloche au niveau du profil, avec des passages de roues et des épaulements saillants. Pour sa part, la poupe donne à voir un becquet de coffre et un faux diffuseur arrière qui ne dépareraient pas sur quelque « Hot Hatch ». L’ensemble est séduisant en diable.
Belle montée en gamme
Le charme ne se rompt pas à bord. Loin s’en faut ! La Yaris 4 hérite d’une présentation intérieure racée et d’une qualité perçue en net progrès par rapport à son aînée. Avec son système audio JBL, son écran tactile central de 7 pouces déporté, son système multimédia compatible Apple CarPlay et Android Auto, ou encore son chargeur par induction, la petite sœur de la Corolla semble outillée pour aller défier les reines du segment des citadines sur notre marché (étant entendu que la Sandero est « hors-concours » !), la Clio et la 208.
Même constat côté sécurité, avec la présence d’un arsenal technologique n’ayant rien à envier à celui des rivales précitées et un équipement que la Yaris peut se prévaloir d’embarquer en première mondiale sur son segment, un airbag central, pensé pour éviter au conducteur et au passager avant de se percuter en cas de choc latéral.
Plus de watts et d’efficience
Enfin, sous le capot, le choix est donné entre un petit bloc essence, un 3-cylindres 1.0 l VVT-i de 70 ch et entre une déclinaison hybride faisant appel à un électromoteur et à un 3-cylindres 1.5 l essence dérivant du 4-cylindres à cycle Atkinson de la Prius. Ce duo développe une puissance cumulée de 116 chevaux, ce qui représente un gain de 16% par rapport aux « écuries » de la variante hybride de la troisième génération de la Yaris, tandis que le moteur thermique ne sirote en moyenne qu’entre 2,7 l et 3,2 l/100 km, soit une économie de l’ordre de 20% par rapport à la Yaris III HSD.
Plus de puissance, des performances en progrès (0 à 100 km/h en 9,7 s, soit 2,1 s plus promptement que le modèle bientôt suppléé), moins de passages à la pompe et un rayon d’action étendu en mode 100% électrique ! Elle est pas belle, la vie ? La nouvelle TOYOTA Yaris « new-look » peut désormais parcourir jusqu’à 80% du trajet en circuit urbain en mode « zéro émission » et jusqu’à 1.000 km avec un plein de carburant.
La nouvelle TOYOTA Yaris est d’ores et déjà disponible à la commande sur le websotre TOYOTA. Tous les prix et fiches techniques sont disponibles ici »
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TOYOTA Yaris - Avis des automobilistes
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