Trois ans et demi après leur lancement, le Mercedes GLC et sa déclinaison GLC Coupé ont eu droit à un lifting de mi-carrière. Dévoilée à l’occasion du salon de Genève et sur le point d’effectuer son entrée dans les concessions de la marque, cette phase 2 évolue plus qu’il n’y paraît. Détails...
Pour Mercedes, le passage de son SUV compact par la case restylage revêtait une grande importance. Il faut dire qu’on a affaire au best-seller des SUV à l’étoile ! Si le look du GLC et celui du GLC Coupé n’ont que peu évolué, on ne peut en dire autant de leur dotation technologique ou des motorisations qui les animent.
Au chapitre esthétique, les GLC et GLC Coupé « new look » dévoilent des lignes un peu plus agressives, mais qui sont cependant dans le prolongement de celles de la génération sortante. Les évolutions sont discrètes, mais bien senties. Elles lui permettent de reprendre les gimmicks des dernières productions de Mercedes, notamment les codes stylistiques introduits par la voluptueuse berline coupé CLS, et, ce faisant, de faire preuve de davantage d’agressivité.
Si la calandre a été élargie et que les boucliers avant et arrière ont été remaniés, c’est principalement au niveau des feux du GLC que les mutations sont les plus visibles. Le SUV compact de Stuttgart darde désormais un regard conquérant. Notons aussi, au niveau des feux arrière, la nouvelle signature lumineuse full LED à la forme ovoïde du plus bel effet.
A bord, les nouveaux GLC et GLC Coupé s’offrent, en option, un combiné numérique de 12,3 pouces. En revanche, ils ont droit, de série, à un nouvel écran central, dorénavant tactile et disponible en deux tailles (7 pouces pour le modèle de base et 10,25 pouces sur le haut de gamme). Cette nouvelle interface de l’excellent système multimédia MBUX, inauguré sur la Classe A et doté de commandes vocales très évoluées, peut être pilotée via un pavé tactile à retour haptique, qui remplace avantageusement la grande molette au niveau de la partie basse de la console centrale.
Inédit lui aussi, le volant est pourvu de touches sensitives, baptisées Touch Control par leurs concepteurs. Elles permettent de naviguer dans les différents menus du véhicule sans quitter les mains du volant.
Si la connectivité du GLC explose, Mercedes a aussi renforcé l’arsenal d’aides à la conduite, avec l’apparition d’un régulateur de vitesse adaptatif avec ajustement de la vélocité en virage, ou encore d’un système d’alerte signalant l’arrivée d’un véhicule ou d’un cycliste à l’ouverture de la porte.
Autre équipement inédit jusqu’alors sur ce SUV compact, le Dynamic Body Control, système d’amortissement piloté, qui offre la possibilité de gérer individuellement chaque amortisseur.
Cela dit, c’est au niveau de la salle des machines qu’ont été portées les modifications les plus profondes. Au menu : hybridation légère 48 V pour les motorisations essence et passage des blocs diesel à la norme Euro 6d.
Dans le détail, l’offre diesel est constituée du 200d 4Matic, bloc inédit qui développe 163 ch, du 220d 4Matic, qui gagne 20 ch pour afficher désormais 194 ch, et du 300d 4Matic, qui culmine à 245 ch et qui vient remplacer les 250d et 350d, qui développaient 204 ch et 258 ch sous le capot de la version d’avant-restylage.
Côté essence, le 200 4Matic de 197 ch a chassé du catalogue la version 250 4Matic de 211 ch, tandis que le 300 4Matic passe de 245 ch à 258 ch. Enfin, les amateurs de sensations fortes succomberont sans doute devant la beauté sauvage des variantes AMG et devant la vigueur de leur V8 biturbo.
Le GLC 63 4Matic développe 476 ch et 650 Nm, alors que la version la plus énervée, la 63S, dispose de 510 ch et 700 Nm. Capable d’abattre le 0 à 100 km/h en 3,8 s, elle peut se targuer d’être le SUV le plus rapide de la planète sur le Nürburgring, avec un chrono de 7 minutes 49 secondes et 37 centièmes. Une version AMG 53, moins himalayenne, devrait suivre.
Sur le segment ultra-concurrentiel des SUV compacts premium, Mercedes semble avoir fait ce qu’il fallait pour que son GLC restylé ne perde pas de terrain face à ses rivaux les plus directs, à savoir l’Audi Q5 et le BMW X3. Il aura même un grand coup à jouer si ses tarifs ne connaissent pas une forte inflation.
319 16 avril 2024
523 30 mars 2024
2.773 14 février 2024
509 16 janvier 2024
948 22 novembre 2023
965.000 - 1.377.000 DH *
815.000 - 965.000 DH *
1.016.000 - 1.310.000 DH *
1.215.000 DH *
819.000 - 1.064.000 DH *
569.000 DH *
480.000 DH *
319.900 - 399.900 DH *
157.900 - 178.900 DH *
313.000 - 453.000 DH *
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* Prix public au Maroc hors frais d'immatriculation et peinture métallisée
428.000 - 580.000 DH *
480.000 - 615.000 DH *
489.700 - 732.000 DH *
577.000 - 753.000 DH *
164.900 - 167.900 DH *
178.900 DH *
199.000 - 262.000 DH *
130.000 - 167.500 DH *
126.000 - 178.000 DH *
140.000 DH *
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* Prix public au Maroc hors frais d'immatriculation et peinture métallisée
36.990 - 36.990 DH *
168.000 - 168.000 DH *
121.000 - 150.000 DH *
67.000 - 133.000 DH *
44.900 - 55.000 DH *
155.000 - 155.000 DH *
131.000 - 131.000 DH *
54.950 - 61.950 DH *
29.500 - 29.500 DH *
89.000 - 89.000 DH *
* Prix de vente public au Maroc
MAURICE FOTSING - le 13 octobre 2019
BEN EL KADI Youness - le 3 avril 2019
Ben chakib - le 15 juillet 2016
daniel ruth - le 6 janvier 2017
j.salah - le 14 janvier 2016
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